Le cours du Napoléon or : une tendance à la baisse depuis le mois de janvier

Après plusieurs jours de fluctuation au tout début de l’année 2012, le mouvement du cours du Napoléon semble prendre une autre tournure vers la fin du mois de janvier. Une nouvelle tendance baissière a été enregistrée après les nombreuses chutes constatées vers la fin de l’année 2011. Selon les valeurs publiées sur les sites spécialisés dans la diffusion du cours de l’or en bourse, la cotation moyenne de la pièce Napoléon durant le mois de janvier a été de l’ordre de 260.4727 euros.

Cette valeur ne sera plus que dans les 257.4762 euros au mois de février, soit une baisse de 1.15 %. Le point le plus haut enregistré au cours de cette période a été sans aucun doute les deux valeurs enregistrées le 01 et le 02 février. Au cours de ces deux jours, le Napoléon or a été négocié à 262 euros l’unité sur le marché boursier. Le point le plus bas est celui du 29 février, durant lequel le cours de cette pièce d’or française a chuté jusqu’à 253.20 euros. Entre ces trois dates notoires, la valeur du Napoléon or en bourse variait entre 259.9 euros et 254.9 euros.

Ce n’est pas uniquement le cours de cette valeur boursière qui a connu une légère baisse durant ces deux premiers mois de l’année 2012. La prime offerte par cette pièce d’or a également chuté de nombreux points. Si une valeur moyenne de 12.1 % a été notée au mois de décembre 2011, celle-ci ne sera plus que dans les 5.4 % au mois de février. La prime proposée par le Napoléon or a chuté jusqu’à 6.7 % de sa valeur. L’importante baisse constatée sur le cours de cette pièce d’or fait l’objet d’une controverse. En effet, face à l’engouement des investisseurs particuliers vis-à-vis de cet outil de placement ces derniers temps, sa valeur ne devrait aucunement connaître une baisse aussi considérable. Les études statistiques réalisées sur la consommation de ce produit financier ont même prouvé le considérable essor du nombre d’investisseurs qui se ruent vers cette pièce d’or française ces derniers temps.

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