L’intérêt d’un placement dans l’or

Le placement dans l’or est une alternative très prisée des grosses fortunes mondiales pour faire face à la crise économique dans laquelle le monde est plongé actuellement. A titre d’exemple, près de 8.320.000 de Français préfèrent investir dans l’or. La progression constante de l’or sur le marché international atteste la confiance des promoteurs économiques sur cette pierre précieuse. Ce qui n’est plus le cas du pétrole, des devises ou encore des banques. D’autres secteurs comme l’immobilier, l’automobile ou l’énergie rencontrent d’énormes difficultés. En tout cas, au vu de la situation économique actuelle, le placement dans l’or met les investisseurs et les bailleurs à l’abri de la tempête économique que traverse le monde.

Ce n’est pas si surprenant que tous les économistes ne misent que sur l’or. C’est un gage d’un investissement solide, rentable et surtout durable. Depuis la crise, les grosses fortunes n’ont plus l’exclusivité du placement dans l’or, les foyers, les particuliers ainsi que les PME s’y sont mis également. Résultat : l’or s’impose davantage comme la valeur refuge par excellence. Au fil de l’histoire, les crises se sont succédées, et seul l’or tient bon. L’engouement pour l’or est actuellement tel que la hausse du prix du métal jaune à hauteur de 500% est presque inaperçu. Dans une époque où la sortie de crise semble incertaine, un placement dans l’or reste judicieux. L’Europe détient en 2011 la plus grosse réserve d’or mondiale (10.972,6 tonnes dont 2.435,4 tonnes pour la France) devant les Etats-Unis (8.133,5 tonnes) et l’Allemagne complète le podium (3.401,8 tonnes).

La même année, les réserves d’or des banques centrales du monde entier ont été évaluées à 30.000 tonnes. Ce qui équivaut à environ 20% du stock mondial. Ces chiffres montrent que le placement dans l’or est vital pour l’économie de chaque pays, que ce soit à court, moyen ou long terme, surtout en temps de crise. En effet, plus un Etat possède de l’or, plus son économie est moins affectée par la pression du marché et la France n’y déroge pas.

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