Particularités des pièces d’or de 20 francs

Pour rappel, les premières pièces d’or de 20 francs sont les Bonaparte 1^er consul, et les 20 francs Coq sont les dernières émises. Parmi les monnaies d’or françaises, d’autres sont rares, presque introuvables alors que d’autres sont largement disponibles. Selon leur qualité, certains Napoléon sont prisés des numismates et des collectionneurs, et d’autres sont plutôt propices à l’investissement.

Quoi qu’il en soit, la disponibilité d’une pièce sur le marché aurifère détermine en partie sa valeur. Il s’ensuit alors que tous les Napoléon n’ont pas le même cours. Le Napoléon III 1853 à 1860 est la monnaie d’or la plus émise avec 146.557.145 exemplaires. Le Bonaparte 1^er consul frappé an XI et le Napoléon de XIII à XIV sont des pièces rares. Bien que le second compte 673.878 unités, cette pièce d’or de 20 francs reste difficile à se procurer. C’est la raison pour laquelle elle est considérée rarissime. Les 20 francs Coq frappés de 1.898 à 1.914 ont été fabriqués à 117.448.888 exemplaires, et ses émissions circulent beaucoup actuellement du fait de leur grande disponibilité. Jusqu’avant la Première Guelle mondiale, les Napoléon sont d’usage aussi bien dans tout le territoire que dans le reste du monde.

Les monnaies d’or françaises de 20 francs font actuellement d’or d’investissement. A l’époque de l’Empereur, elles symbolisaient la stabilité et la puissance monétaire de la France au niveau mondial. De nos jours, elles sont toujours une référence dans le domaine. Cotés en bourse à partir de 1.915, il est d’usage d’échanger, de vendre, de négocier et d’acheter un produit ou une matière première avec des Napoléon. Cela montre combien les pièces d’or de 20 francs sont toujours aussi importantes dans les transactions, que ce soit en dehors ou dans le système bancaire.

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